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Anatomie Bousculaire

by Anatomie Bousculaire

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1.
"De nos gaietés, aucune issue. De nos répits, aucune parade. Avalanche de querelles." Devine qui détraque nos mimes imprévus Nos peurs à corps détalent en pendaisons lunaires. Entassées Anatomie bousculaire je déborde et j'inflige Devine qui dissèque nos ébauches de salives Mon œil te scrute et te fouille sans comprendre Mes mains vacillent et s'éclipsent sans attendre [Enlacées, enlacées, enlacées, enlacées] Que m'arrive-t-il d'infini bariolé? Je ne sais plus ni pourquoi je suis niée Devine qui le borgne vient saisir dans sa traîne d'argile Quels bris de liens s'aimantent, dans sa quête enragée. Délaissées Anatomie bousculaire je déborde et j'inflige Devine je dissèque nos ébauches de salives Mon œil te traque et se gave sans attendre Qu'enfin ta main glisse et vienne se répandre [Enlacées, enlacées, enlacées, enlacées] Que m'arrive-t-il d'infini bariolé? Je ne sais plus ni à quoi je suis liée Mon œil se fixe et se crispe sans offrande Ce corps tendu n'est pas prêt de se rendre Que m'arrive-t-il d'infini bariolé? Je ne sais plus qui je-tu désormais Anatomie Bousculaire déborde et inflige Anatomie Bousculaire dissèque et inflige
2.
Contre nature mais contre elle Les doux mélanges d’anatomie Rêver ces corps à corps séquelles Ma peau d’asile au goût du fruit Contre nature mais contre elle Écarlates, nos envies
 Grimées, les princesses irréelles Pénélope de nos récits Contre nature mais contre elle Contre nature mais contre elle Contre nature mais contre elle Nos princesses de l’irréel Contre nature mais contre elle Irrésistibles nos insomnies 
Dévier nos corps nous donne ces ailes Qui nous bannissent à l’infini Contre nature mais contre elle
 Les fugitives de l’interdit
 Tous ces efforts pour paraître celles Ne voulant pas trahir ses vies Contre nature mais contre elle Contre nature mais contre elle Contre nature mais contre elle Nos princesses de l’irréel Elle Cogne
 « Animale carapace » Raisonnent
 « Les insultes, les menaces » Tu voudrais que s’effacent Déchirée tu vis
 Elle donne « Les insultes, les menaces » Raisonnent « Animale carapace »
 Mais finalement s’enlacent Déchirée tu vis, enivrée tu plies Déchirée tu vis. Contre nature mais contre elle Diplomate sodomie
 Dévier nos corps nous donne les elles Qui nous bénissent à l’infini Contre nature mais contre elle Incandescentes nos harmonies Tous ces efforts pour paraître celles, Puis finalement travestir ses vies Contre nature mais contre elle Contre nature mais contre elle Contre nature mais contre elle Nos princesses de l’irréel Contre nature mais contre elle Contre nature mais contre elle Contre nature mais contre elle Nos princesses de l’irréel
3.
Ma cité d’or, cité de feu, cité d’étoiles aseptisées, L’égalité tire sur les bords, le rejet de greffe a commencé Cité dortoir, cité d’honneur, ma cité grogne abandonnée La dignité avale son chlore, face à son manque de liberté Ahhhhh... Ma cité d’or, cité de feu, J’attends au pied de l’arbre mort, Qu’enfin s’éveillent les entassés Ma cité d’or, cité de feu, Au son des chants de Maldoror, Le cri des peaux diabolisées Ma cité d’or, cité de feu, cité d’étoiles trop policées, L’égalité a changé de bords, Le rejet de greffe s’est emballé Cité dortoir, cité d’horreur, ma cité lasse, abandonnée La dignité recrache sa flore, face à sa rage de liberté Ahhhh... Ahhhh... Ma cité d’or, cité de feu, cité d’étoiles dévalisées L’égalité tire sur le mors Le rejet de greffe s’est enflammé Cité dortoir, cité d’honneur, ma cité classe, va se lever La dignité recrache sa flore, face au carnage politisé Ma cité d’or, cité des dieux J’attends au pied de l’arbre mort, Qu’enfin renaissent les ensablés Ma cité d’or, cité de feu, Le cœur griffé sur la longueur, Le cri des peaux écartelées Ma cité d’or, cité de feu, J’entends au pied des miradors, L’appel au calme des rescapés Ma cité d’or, cité de feu, Le cœur greffé sur la longueur, Ne cessera donc jamais de couler?
4.
Il nous en a pourtant fallu bien du courage
Pour découvrir coûte que coûte nouveaux rivages Partir ils étaient plutôt longuets les voyages
Le cœur barbouillé d'incroyables paysages Ils ont failli croquer mon cœur les p'tits poissons Moi je ferais le mort gonflé l'air d’un ballon
Ils ont failli croquer mon cœur les p'tits poissons Moi je ferais le mort gonflé l'air d’un ballon Entre deux eaux l'océan est parfois sauvage Vous filerait facile des idées de naufrage
Et pas question trop d'eau de rentrer à la nage La mer à boire c'est dur vu le goût du breuvage Ils ont failli croquer mon cœur les p'tits poissons Moi je ferais le mort gonflé l'air d'un ballon
Ils ont failli croquer mon cœur les p'tits poissons Moi je ferais le mort gonflé l'air d’un ballon La mort barrée, pavillon noir, l'heureux mariage
Qui claque au vent ça jette un froid sur l'équipage
On met les voiles en d'autres termes on plie bagage Débrouillez-vous avec vos histoires de courage
On a des rêves au soleil au bout du voyage
Femmes aux seins nus toutes en couleur beau coloriage On coule à pic dans leurs eaux profondes et sauvages Profondeurs que n'ont pas les hommes d'équipage Ils ont failli croquer mon cœur les p'tits poissons Moi je ferais le mort gonflé l'air d'un ballon
Ils ont failli croquer mon cœur les p'tits poissons Moi je ferais le mort gonflé l'air d’un ballon
5.
J’harnache mon sexe défiguré J’échange ma chair de broutilles Bruissements de genres inexplorés Laisse-moi rêver mon idylle Sandpaper in the eyes, they try to bore in me
I won't let them bleach our bones and our fantasy Sandpaper in the eyes, they try to bore in me
I won't let them bleach our bones and our fantasy Freaks fight on ! Sauve ta peau ! Sandpaper in the eyes, they try to bore in me
I won't let them bleach our bones and our fantasy Freaks fight on ! Sauve ta peau ! J’harnache mon sexe défiguré J’échange ma chair de broutilles Bruissements de genres inexplorés Laisse-moi rêver mon idylle J’harnache mon sexe défiguré ! Freaks fight on Sauve ta peau J’harnache mon sexe défiguré J’échange ma chair de broutilles Bruissements de genres inexplorés Laisse-moi rêver mon idylle.
6.
Tu m’as dit ce soir, oh viens me voir... Danser...Danser Well I put my brain on your black’s hand Merry me, oh merry me. Tu m’as dit ce soir, oh viens me voir... Danser...Danser It was a film, just about the Moon Imagine oh you’re mine Je me suis aperçue en courant Que les hôpitaux auront des dents Déchire ta peau, ta culotte et ta robe Monsieur le Momô attention aux microbes J’ai connu l’humus, tranquille, magique J’ai couru Morticius, j’ai couru l’humus Viens danser avec moi, viens danser en moi J’ai couru l’humus, j’ai voulu... Rictus Tu m’as dit ce soir, oh viens me voir... Danser...Danser Well I put my brain on your black’s hand Merry me, oh merry me. Tu m’as dit ce soir, oh viens me voir... Danser...Danser It was a film, just about the Moon Imagine, oh you’re mine Mais tu restais la fille de joie Que j’accrochais au fond de mes bras Et je mimais la fille de loi Qui s’affaissait au bout elle et moi A lot of crimes in the city... J’ai connu l’humus, tranquille, magique J’ai couru Morticius, j’ai couru l’humus Viens danser avec moi, viens danser en moi J’ai couru l’humus, j’ai voulu... Rictus Well I know the fucking moon Well I know the fucking moon Well I know the fucking moon Well I know the fucking moon Well I know the fucking moon Danse avec moi Well I try to know the fucking moon Well I try to know Well I try to know the fucking moon Well I try to know Well I try to know the fucking moon Well I try to know Well I try to know the fucking moon Danse avec moi Well I try to know the fucking moon Well I try to know the fucking moon Well I try to know Well I try to know the fucking moon Well I try to know that fucking Well I try to know that fucking, fucking, fucking, fucking, fucking... Fucking moon...
7.
Regarde... Et rampe ! Regarde... Regarde ces enfants qui dansent Regarde ces morts qui balancent À genoux vers demain Regarde ces enfants qui braillent Le doute des morts qui déclament Et rampent vers le festin Tu te gaves de mes cendres, métastases en treillis L'estomac en attente, je défendrai mon nid Tu te gaves de mes cendres, métastases en treillis La vessie éloquente, j'inonderai tes abris Rends-moi ma terre, rends-moi mon sang Rends-moi les pierres et les ossements Rends-moi la chair, rends-moi mon rang Rends-moi l'envie de l'envol éclatant Tends-moi la veine, rends-moi les corps Reprends l'horreur et ses craquements Ravale ta guerre et ton ciment Rends-moi l'altitude de l'enfant Regarde et rampe ! Regarde ces enfants qui dansent Regarde ces morts qui balancent À genoux vers demain Regarde ces enfants qui braillent Le doute des morts qui déclament Et rampent vers le festin Rends-moi ma terre, rends-moi mon sang Rends-moi les pierres et les ossements Rends-moi la chair, rends-moi mon rang Rends-moi l'envie de l'envol éclatant Tends-moi la veine, rends-moi les corps Reprends l'horreur et ses craquements Ravale ta guerre et ton ciment Rends-moi l'altitude de l'enfant Regarde ! Tu te gaves de mes cendres Regarde ! Mais Regarde ! Tu te gaves de mes cendres Regarde ! Tu te gaves de mes cendres
8.
Mais que veulent ces gens au sexe déroutant? Mais que veulent ces gens au sexe dégoûtant? Vacarme indécent de nos hontes Vacarme épuisant de nos fontes Cortex blanchi et délicat Déluge tactile de nos ébats Rouges nos langues, rouges nos langues Rouges nos langues, rouges!!! Rouges nos langues rongent nos crânes rouges Et je m'étends sur ses lueurs, anévrisme oppressant Rouges nos langues rongent nos crânes rouges Et elle se penche sous mes humeurs, anévrisme enivrant Vacarme irritant de nos hontes Vacarme incessant de nos fontes Cortège blanchi et délicat Déluge fragile de mon appât Rouges nos langues, rouges nos langues Rouges nos langues, rouges!!! Rouges nos langues rongent nos crânes rouges Et je m'étends sur ses lueurs, anévrisme oppressant Rouges nos langues rongent nos crânes rouges Et elle se penche sous mes humeurs, anévrisme enivrant Rouges nos langues rongent nos crânes rouges Quand je dévale nos rituels, anévrisme alarmant Rouges nos langues rongent nos crânes rouges Quand elle perpétue mon séquelle Riposte, colère, et détachement Mais que font ces gens en s'endormant? Riposte, chaleur et dénuement Mais qui sont ces gens au sexe malveillant? Mais qui sont ces gens au sexe malveillant? Mais que font ces gens en s'endormant? Mais que veulent ces gens au sexe déroutant? Mais que veulent ces gens au sexe dégoûtant? Mais que veulent ces gens au sexe déroutant? Mais que veulent ces gens au sexe dégoûtant? Au sexe déroutant. Au sexe dégoûtant. Au sexe déroutant. Au sexe dégoûtant. Au sexe !
9.
My way, this is my way, take your breast away Oh my hollow way, muddy way My way, this is my way, take my breath away You brace up my way A girlstrap by the way No matter what's in your hell No matter what's in your well I'm sucking my way I'm just a weed, I confess my way as bloody way I know you're crouching No matter what's in your hell No matter what's in your well I'm freaking my way Perforating shame I want to share No matter what's in your hell My crippled way under your sun My way, wane of your way, it's my winning-day Headlong in your way, you flutter about my way My way, this is my way Take your brow away Oh my hollow way Muddy way No matter what's in your hell No matter what's in your well I'm sucking my way I know you're crouching, by the way, Take my breast away, away, away, away No matter what's in your hell No matter what's in your well Girlstrap in my way Bounds of my way Oh take my breath away, away, away, away, away Jump Jump Jump Jump Jump Jump In my bed Jump Jump Jump Jump Jump Get out of my head Jump Jump Jump Jump Jump In my jungle's bed Jump Jump Jump Jump Jump In... My hallow way Wane of my way My muddy way A lot of scales captcher my way Underground waves oppress my way No matter.... No matter what's in your hell No matter what's in your well I'm sucking my way I know you're crouching, by the way Take my breast away, away, away, away No matter what's in your hell No matter what's in your well Girlstrap in my way Bounds of my way Oh take my breath away, away, away, away...
10.
Candy Kane 02:41
C'est la pirouette-musaraigne L'ensemble suintait Candy Kane Et moi affalée dans son règne Je sentais l'air manquer l'entre-nous Ses dieux, ses armures, ses pentes sans oubli Ses traces, ses souillures, murmures d'agonie Ses culbutes miroir tassées comme le soir « Elle parlait trop vite » C'est la tempête-musaraigne L'ensemble suintait Candy Kane Et moi rongée sous ses fontaines Je sentais l'air masquer l'entre-nous Hélas mes ratures confondaient l'ennui Je lui tendais mes fissures et mes élans ravis Je guettais chaque morsure, divulguais mes récits Au bord des cimes balafrées Candy Kane me fit tournoyer C'était la pirouette-Candy Kane D'aussi loin que le vent malmène C'était la tempête-Candy Kane Je sentais l'air scinder l'entre-nous Ses dieux, ses armures, ses pentes sans oubli Ses traces, ses souillures, murmures d'agonie Ses culbutes miroir tassées comme le soir. « Elle quittait trop vite »
11.
Faïence 03:30
J’en appelle à toi mon âme J’interpelle tes oriflammes J’en appelle à toi ma peur Je veux retrouver le cœur De nos rations éphémères De sexe bouillant ou en verre Mon secret dans nos secrets Quand soudain tu disparais Je, fendue, le dos cru, brise mes alliances Je, fendue, le corps nu, en offrande je m’avance Je, fendue, le dos cru, griffe ton silence Je, fendue, le corps nu, je t’attends mon ascendance J’en appelle à toi mon âme J’interpelle tes oriflammes J’en appelle à toi ma peur Pour que renaissent nos couleurs Allaitée de ton absence, Je m’enfonce dans la faïence, Abreuvée de ton départ, Les organes en avatar Je, fendue, le dos cru, brise mes alliances Je, fendue, le corps nu, en offrande je m’avance Je, fendue, le dos cru, griffe ton silence Je, fendue, le corps nu, je t’attends mon ascendance J’en appelle à toi mon âme J’en appelle à toi mon âme Je, fendue... Je, fendue...
12.
Ravissement 03:18
La femme ovale jure à l'envers Que contre moi elle récupère, Des pics, des os, des ricanements, Des traces de mots, des astres lents Qui la déclinent en dépotoir Qui nous assignent au bord du noir Quand je destine mes collisions À d'éphémères infiltrations Vois comme je dérive le long de ses pentes Perdue éperdue aux creux mon absente Vois comme je scintille du haut de ses hanches Étranglée, étranglée, mes laideurs amantes La femme ovale est mon obscure, Ricochet d'abandon, gouffre d'azur La femme ovale saccage nos leurres, Dans sa riposte sans chaleur Qui la déclinent en dépotoir Qui nous assignent au bord du noir Quand je destine mes collisions À d'éphémères infiltrations Vois comme je dérive le long de ses pentes Perdue éperdue aux creux mon absente Vois comme je scintille du haut de ses hanches Étranglée, étranglée, mes laideurs amantes Vois comme je dérive le long de ses pentes Perdue éperdue aux creux mon absente Vois comme je scintille du haut de ses hanches Étranglée, étranglée, mêlée d'heures aimantes La femme ovale jure à l'envers Que contre moi elle récupère, Des pics, des mots, des morts, des traces, De nageoires en trépas, désastre.
13.
Elle crie, elle vit, elle prend, elle mange, Elle prie, s’arrange puis recommence C’est la parade des mutantes, Elle, Buccales, absurdes et sourdes Nos langues coulées s’étirent, Elle, Saisissent vos anneaux-fourches Structurer l’évidence, carnage et ruissellement, Germes lisières Aliénation je m’égare dans les grincements solides de leur gangrène L’abdomen froissé, enseveli, passe-muraille Mémorise nos rages au fond de chaque entaille Elle crie, elle vit, elle prend, elle mange, Elle prie, s’arrange puis recommence C’était à fendre la foule, à féconder les cieux Féerique paresseuse, Elle C’était à croire que l’on peut, elle chahutait les dieux Douce fêlure animale, Elle C’est la parade des mutantes, Elle Buccales, absurdes et sourdes Nos ventres athées se détachent, Elle Méprisent vos lésions-mouche Délivrées de l’apparence, réinventant les corps, Libre matière Aliénation, je m’isole dans l’héritage candide de vos œillères L’abdomen s’échappe au rythme des rafales Réfutant l’immobile patience de nos sages Elle crie, elle vit, elle prend, elle mange, Elle prie, s’arrange puis recommence C’était à mordre la foule, à fissurer les cieux Féerique paresseuse, Elle C’était à croire que l’on peut, elle enchantait les Dieux Douce fêlure animale, Elle Elle crie, elle vit, elle prend, elle mange, Elle prie, s’arrange puis recommence Elle crie, elle vit, elle passe encore Me raviver sans trop d’effort Elle crie, elle vit, elle prend, elle mange, Elle prie, s’arrange puis recommence Elle crie...
14.
Ma fiole de sang, mon voile d’acier, L’œil menotté purge l’anarcisse, Ma fiole de sang, mon voile d’acier, Le goût du fouet crache sa malice, Ma fiole de sang, mon voile d’acier, L’œil menotté purge l’anarcisse, Ma fiole de sang, mon voile d’acier, Nos corps à corps ressuscités Mon œuvre au noir, ma liqueur d’ange, Ton intérieur à ma portée, Je me souviens de nos échanges, Comme un constat d’éternité Ma fiole de sang, mon voile d’acier, L’œil menotté purge l’anarcisse, Ma fiole de sang, mon voile d’acier, Le goût du fouet crache sa malice, Ma fiole de sang, mon voile d’acier, L’œil menotté purge l’anarcisse Ma fiole de sang, mon voile d’acier, Nos corps à corps ressuscités Mon œuvre au noir, ma liqueur d’ange, Ton intérieur à ma portée, Je me souviens de nos échanges, Comme un contrat déterminé Mon œuvre au noir, ma liqueur d’ange, Ton intérieur à ma portée, Je me souviens de nos échanges, Comme un constat déterminé Mon œuvre au noir, ma liqueur d’ange, Ton intérieur à ma portée, Je me souviens de nos échanges, Comme un contrat d’éternité Je ne peux plus oublier tes sillons, Je ne veux plus étoiler ma fiction, Je ne peux plus éventrer l’émotion, J’offre mon cœur et encore à l’affront... Je ne veux plus m’éloigner du sillon, Je ne veux plus effleurer la tension, Tu n’a pas su résister au désordre, Comme un carnage que j’empoche et pardonne Mon œuvre au noir, ma liqueur d’ange, Ton intérieur à ma portée, Je me souviens de nos échanges, Comme un constat d’éternité. Mon œuvre au noir, ma liqueur d’ange, Ton intérieur à ma portée, Je me souviens de nos échanges, Comme un festin contaminé. Ma fiole de sang, ma liqueur d’ange.

credits

released May 25, 2009

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Anatomie Bousculaire Paris, France

Anatomie Bousculaire's new album “À l’intérieur de l’intérieur” has been released on 01/03/2015. The powerful rock sound of the band is now spiked with psychedelic electro.

Anatomie Bousculaire, won
* La Music Award, Best artist of the year" in the grunge category.

* A prestigious reward previously earned by No Doubt, System of a Down, Korn, Alien Ant Farm, Slash et les Black Eyed Peas
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